mardi 28 novembre 2017

Le développement durable en 5 C, par Agathe



Dans le cadre du développement durable, la classe de 5e C est en train d’aménager sept carrés potagers, installés à l’entrée du collège. Nous les remplissons tout d’abord d’herbes, de brindilles, de pelures de fruits, de terreau afin d’obtenir un compost dans lequel nous planterons des graines. Nous prévoyons des légumes et des herbes aromatiques… Nous ferons une plantation en mars pour espérer récolter en avril puis une deuxième plantation se fera en mai pour une récolte en juin. Nous sommes encadrés par M. Règle. La classe s’amuse beaucoup à faire ce projet mais il y a certaines contraintes : salissement des pantalons et des mains, beaucoup d’efforts mais pour certainement aboutir à de belles choses. Ce projet a été choisi car il est utile: nous pourrons faire une vente des produits récoltés, ou les ramener chez nous.
Nous avons aussi rénové le gîte à insectes placé maintenant à côté des potagers et nous fabriquons nous même des gîtes à insectes plus petits pour nous.

Agathe BAZIN CHARLET

lundi 27 novembre 2017

Entretien avec Madame Valour-Gouget, par Philomène et Romane

JSN : Avec quelles classes travaillez-vous ?
Je travaille essentiellement avec des 5e , des 4e et des 3e.

JSN : Qu’aimez-vous le plus dans votre métier?
Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est le contact avec les élèves, le fait de leur apprendre des choses et le coté social entre les élèves. Surtout leur apprendre à devenir des citoyens de demain.

JSN : Qu’aimez-vous le moins dans votre métier ?
Je déteste mettre des punitions.

JSN : Depuis quand parlez-vous espagnol ?
J’ai commencé l’espagnol en 4e au collège j’ai ensuite continué au lycée. J’ai fait une faculté de langues.

JSN : Avez-vous de la famille en Espagne ?
Non je n’ai pas de famille espagnole mais j’ai beaucoup d’amis qui parlent espagnol.

JSN : Allez-vous souvent en Espagne ?
J’essaie d'y aller une fois par an.

JSN : Avez-vous déjà vécu en Espagne ?
J’ai vécu 2 ans en Espagne, pour vraiment approfondir la langue.

JSN : Que pensez-vous de notre collège ?
Je m’y sens très bien, les élèves sont sympathiques. Il y a une bonne ambiance entre les professeurs et les élèves.

JSN : Essayez de nous parler de la culture espagnole ?
La culture espagnole est une culture très festive. On va manger plus tard, on va se retrouver entre amis plus qu’en France. C’est dû au climat puisqu’il fait chaud plus tard donc on se retrouve plus tard dans les rues pour boire un verre ou autre.

JSN : Y a-t-il des difficultés dans cette langue ?
Comme dans toutes les langues bien sûr ! au niveau de la prononciation, il y des choses que les Français n’ont pas l’habitude de dire et prononcer ; donc c’est difficile mais avec de la persévérance et du travail on y arrive.

JSN : Avez-vous des loisirs ou des passions ?
J’aime beaucoup le cinéma, le sport : quand je ne suis pas enceinte, je cours. J’aime m’occuper de mes enfants. J’aime faire les travaux de classe pour vous intéresser.

JSN : Trouvez-vous des points fort à notre établissement ?
Je dirais que comme c’est une petite structure la relation professeurs élèves se fait très facilement et on est vraiment à votre écoute.


Philomène Delapierre et Romane Lepetit

La flûte traversière, par Clémence Urbini

La flûte est un instrument de musique qui se joue avec le souffle et appartient à la famille des bois, même si elle n’est pas fabriquée de cette matière. Elle se compose de trois parties :
  • L’embouchure
  • Le corps
  • La patte d’ut
Avec cet instrument, on a tendance à jouer de la musique classique comme Bach, Mozart ou alors du Quantz.

Il y a plusieurs sortes de flûte :
  • La flûte Irish, faite en bois
  • Le fifre, petite flûte
  • La flûte traversière classique
  • Le Koudi chinois
Je fais moi-même de la flûte traversière et commence ma 6e année de cet instrument.
J’ai plaisir à jouer les musiciens Quantz ou Jean-Sébastien Bach.


Clémence URBINI

Le récit du mois, par Camille Folliot



Dans la famille Folliot, on avait pour habitude de se retrouver tous dans la maison de mes grands-parents maternels pour Noël. Ce Noël-ci, celui de mes 12 ans, était très spécial. En effet, mon arrière grand-mère était morte dans son sommeil.

Toute la famille était en deuil le jour de Noël, ça faisait tout drôle, mais en même temps je les comprenais. Andréane, mon arrière grand-mère, était quelqu'un de formidable, vraiment formidable. Elle était généreuse, gentille, drôle et avait un grand cœur. Elle n'avait pas voulu d'enterrement, je la reconnaissais bien là. A chaque fois qu’on lui parlait de cérémonie ou de fête, elle nous riait au nez. Sans doute était-elle mal à l'aise lors de ces événements «mondains», comme aimait les appeler Mémé.
Elle était vraiment spéciale, et est morte d'une façon si quelconque que ça me peine pour elle. Elle qui aimait être le «centre du monde». Elle qui aimait parler de tout et de rien avec tout le monde, pour, disait-elle, passer le temps. Elle qui aimait les robes à frou-frou, les bijoux «bling-bling», le maquillage à paillettes et les barrettes à fleurs. Je la vois encore dans mes souvenirs avec sa chevelure couleur feu, sa peau blanche telle du marbre et ses yeux bleus d'une douceur exquise.

La mort de mémé m'a appris quelque chose. Le temps n'est ni extensible, ni rétractable. Le temps ne se contrôle pas. S'il décide que tu as assez vécu, personne ne peut changer cela et tu dois faire en sorte de mourir dignement plutôt que mourir dans le déshonneur où ta fierté et ton honneur se sont fait la malle. Quand tu es comme moi, jeune, sensible, innocente, sans expérience dans la vie (enfin pas beaucoup) et que d'un seul coup tu te retrouves confrontée à la mort d'un proche, tu te dis : « Mémé est morte, et si demain ça arrivait à Maman, à Papa, à ma meilleure amie ou même à moi ? Vite, je ne peux pas me permettre de rater encore un moment avec eux. Je veux avoir les meilleures expériences avec eux, je veux avoir les plus beaux, les plus fantastiques, les meilleurs moments de toute me vie avec eux.».
Le temps n'est peut-être pas extensible mais le sentiment d'impuissance face à la mort dure toute la vie. Tu ne t'en débarrasses que quand tu pars dans l'au delà, dans un sommeil sans fin, comme celui de «La Belle au bois dormant», mais cette fois-ci le prince est mort dans le piège de la méchante Maléfique.

Je vais peut-être répéter mes propos mais j'aurais voulu avoir plus de temps avec ma Mémé. Elle était très importante pour moi. Je ne me ferai plus jamais avoir maintenant, j'ai compris la leçon et le manège de la mort. Toute ma vie, je ne raterai plus une occasion de rester avec ma famille, mes amies ou même mes animaux de compagnie. La vie est très courte, il faut profiter de chaque moment présent, qu'il soit joyeux, triste, bon ou médiocre, ça on s'en fiche, tant que vous êtes en vie.

La mort, elle, n'attend pas et emporte tout sur son passage. Que ce soit un animal, une personne quelconque, un président, un Roi, un prince, un bébé, elle ramasse les vies avec sa faulx d'un noir éclatant et les emmène au paradis ou en enfer. Mémé, elle, est au paradis. Même si elle ne croyait pas à ces histoires, lorsqu'elle est montée au ciel, les portes du paradis l'attendaient, grandes ouvertes.


Camille FOLLIOT (3A)

Election des délégués de 6e C, par Maxime

Les élections des délégués de 6e C se sont passées en quatre étapes :
La première étape :
Les élèves devaient élire le délégué garçon mais trois garçons sont arrivés ex-aequo avec six votes chacun.
La deuxième étape :
Il fallait élire un de nos trois garçons mais deux garçons ont obtenu onze votes chacun.
La troisième étape :
Maxime fut enfin élu délégué garçon.
La quatrième étape :
La classe devait élire sa déléguée fille, et ce fut Abigaël, l’heureuse élue.

Maxime TOUFLET